Épisode 3: Les pilules empoisonnées sont des outils importants pour les sociétés ouvertes face aux tarifs douaniers et aux guerres commerciales

Alors que les entreprises canadiennes sont confrontées à la faiblesse du dollar, à l’augmentation des tarifs douaniers et à la menace d’un empiétement étranger, comment les sociétés ouvertes peuvent-elles se protéger en période de turbulences? Dans cet épisode de Be It Resolved, l’animateur, M. Rahul Bhardwaj, président et chef de la direction de l’Institut des administrateurs de sociétés (IAS), s’entretient avec M. Walied Soliman, président canadien de Norton Rose Fulbright et co-président de l’équipe Situations spéciales, pour explorer l’importance des pilules empoisonnées pour protéger les sociétés ouvertes en période d’incertitude économique.

Chef de file en matière de droit des sociétés et de gouvernance, M. Soliman discute de la pertinence des pilules empoisonnées au Canada par rapport aux États-Unis, de la vague croissante d’activisme des actionnaires et des mesures que les conseils d’administration devraient prendre pour protéger les sociétés canadiennes. La conversation met également en lumière la manière dont les administrateurs peuvent concilier leurs obligations fiduciaires et patriotiques tout en faisant face aux défis réglementaires et aux offres publiques d’achat hostiles.
Il est résolu que les pilules empoisonnées sont des outils importants pour les sociétés ouvertes face aux tarifs douaniers et aux guerres commerciales. Pour nos auditeurs – quel sera votre vote?

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